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(Sorry, this page has not been translated by the translator you selected.) Une jeune nonne approcha le maître Banzen et dit : “Quand on m’a présenté le cahier des charges, j’ai fait un document d’architecture générale, comme le veut notre méthode. “Quand l’architecture générale a été validée, j’ai commencé un document de conception détaillée, comme le veut notre méthode. Ce faisant, j’ai réalisé que mon architecture générale n’était pas satisfaisante, et l’ai alors récusée. “Quand la conception détaillée a été validée, j’ai commencé à coder, comme le veut notre méthode. Ce faisant, j’ai réalisé que ma conception détaillée n’était pas satisfaisante, et l’ai alors récusée. “Voici ma question : “Puisque nous devrons passer par des étapes de refactoring en accord avec les besoins, et puisque les besoins ne sont connus que lorsque l’implémentation est en cours, ne pourrions-nous pas écrire simplement le code, et rien d’autre ? Pourquoi devons nous gaspiller du temps à faire ces documents d’architecture et de conception ?” Banzen considéra cela. Puis il hocha la tête et dit : “Il n’y a pas plus de vertu dans les documents que dans une poignée de feuilles : tu peux tout à fait te passer de l’un des deux. Avant que maître Mugen ne croise les Friches Non Compilées, il fit huit cartes finement détaillées du chemin qu’il pensait prendre. Cependant, quand il arriva aux portes du temple, il les brûla immédiatement.” La nonne prit congé de bonne humeur, mais sitôt qu’elle atteignit le seuil, Banzen aboya : “Nonne !” Et tandis qu’elle se retournait, Banzen dit : “Si Mugen a pu se permettre de brûler ses cartes, c’est parce qu’il était arrivé.” Traduit par Sylvain Abélard. Un extrait de The Codeless Code, par Qi (qi@thecodelesscode.com). Distribué sous la Creative Commons Attribution-NonCommercial 3.0 Unported License. |