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(Sorry, this page has not been translated by the translator you selected.) En punition pour avoir implémenté une solution inhabituelle à un problème, le maître Banzen avait ordonné à la nonne Satou de se tenir sans bouger à l’entrée de son bureau, tous les jours, faisant semblant d’être un porte-manteau. Chaque nouveau visiteur qui entrait lançait immanquablement un regard d’étonnement et demandait ce qu’ils devaient faire de leur manteau. Le maître pointait alors Satou, sans un mot. Le visiteur finissait par comprendre. Quand cent visiteurs furent venus et partis, Banzen demanda à son apprentie si elle avait bien servi ses invités. Satou répondit, “Pas un manteau ne fut laissé par terre froissé, pas un n’a dégouliné sur une chaise, pas un n’a gêné son propriétaire.” Banzen secoua la tête et ordonna à la nonne de continuer. Quand une autre centaine de visiteurs furent venus et partis, Banzen demanda de nouveau à son apprentie si elle avait bien servi ses invités. Satou répondit, “J’ai volé quelque chose à chacun d’entre eux.” Banzen leva un sourcil et demanda, “Qu’as-tu volé ?” “Hélas !” cria Satou. “Maintenant je vous ai volé aussi !” Banzen sourit, et libéra la nonne de sa corvée. Le commentaire de QiJusqu’à ce que vous compreniez cette histoire, je vous ai volé aussi. Le poème de QiSatou construisit une horloge qui perdait une minute par jour. Traduit par Sylvain Abélard. Un extrait de The Codeless Code, par Qi (qi@thecodelesscode.com). Distribué sous la Creative Commons Attribution-NonCommercial 3.0 Unported License. |